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Résultats de la recherche : "conditions de vie "

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Chapitre 4 - Le Véritable et les imposteurs (15)


(15) En ayant lamentablement échoué dans vos tentatives d'explications sur l'existence, vous en êtes arrivés à cette conclusion : l'homme est un hasard ! L'eau sur la Terre est un hasard ! La Terre elle-même est un très grand hasard, ainsi que l'intelligence des hommes ! Mais dites-moi, si ce hasard-là est en mesure de concevoir et de créer les astres qui offrent des conditions de vie avec lesquelles il forme le monde espèce après espèce, jusqu'aux hommes qui rient et pleurent, n'est-il pas divin ? Qu'avez-vous donc contre le Créateur pour l'appeler hasard ? Que vous a-t-il fait pour que vous soyez tous ligués contre Lui, alors qu'il vous donne le souffle de vie ? L'accusez-vous de vous laisser dévaster la Terre et d'occasionner des souffrances horribles parmi les peuples, alors qu'il vous fit connaître sa loi pour ne pas en arriver là ? Vous avez voulu vous mesurer à Dieu pour vous faire valoir aux yeux de tous, mais aujourd'hui vous voilà vaincus par une mâchoire d'âne...





Chapitre 10 - La circoncision du coeur (11)


(11) La circoncision du coeur montre les saints d'esprit. C'est pourquoi, je vous dis ouvertement qu'on ne peut fondre les sept éléments de la sainteté sur le visage de ceux qui gouvernent le monde, vous trompent, vous tyrannisent et vous soumettent de force à la servitude et à la rançon, quand ils ne vous envoient aux abattoirs de leurs guerres qu'ils estiment nécessaires à leur domination. Ils ont établi leurs lois depuis le matin du monde, et dévastent la Terre sans scrupules. Ils ne font aucun cas des conditions de vie naturelles des créatures. Mais, même avec leurs scandales, ils étaient indispensables au monde ; parce qu'ils sont l'ivraie qui devait pousser, fleurir et prospérer, pour servir d'exemple et être extraite à jamais de la Terre. C'est ici la promesse de Dieu pour les jours de la moisson à la fin des temps dans lesquels vous êtes arrivés, et le sens de la parabole du blé et de l'ivraie qu'expliquait Jésus et que voici :

Jésus leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l'ivraie parmi le blé, et s'en alla. Lorsque l'herbe eut poussé et donné du fruit, l'ivraie parut aussi. Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n'as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D'où vient donc qu'il y a de l'ivraie ? Il leur répondit : C'est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l'arracher ? Non, dit-il, de peur qu'en arrachant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.

Quelque temps après, ses disciples lui demandèrent avec insistance : Explique-nous la parabole de l'ivraie du champ. Il répondit : Celui qui sème la bonne semence, c'est le Fils de l'homme ; le champ, c'est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume (les élus) ; l'ivraie, ce sont les fils du malin (les impies) ; l'ennemi qui l'a semé c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges (vous qui comprenez). Or, comme on arrache l'ivraie et qu'on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde. Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l'iniquité ; et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !





Chapitre 14 - L'altération du monde (28)


(28) Je te place devant tes sacrilèges, l'homme insensible, parce qu'en t'appuyant sur ceux qui te dirigent et te frappent, tu ne les vois pas. T'apparaît-il seulement qu'en ne pouvant nullement saisir l'univers et la vie qu'il renferme, les scientifiques sont grandement agacés par leur ignorance ? Alors ils dénaturent sciemment les plantes et les êtres vivants, créent les moyens de l'extermination du plus grand nombre, détruisent les conditions de vie naturelles, contaminent les sites et les êtres, bouleversent la Terre, élaborent des machines à tuer, et martèlent leurs mensonges pour les introduire dans l'esprit de tous. A la suite de cela, ils font aisément croire que les hommes existent par hasard et que la vie est un scandale, parce qu'ils ne peuvent s'empêcher d'être eux-mêmes scandaleux. Pensant néanmoins être d'une espèce supérieure, ces fils de Satan n'ont pas compté avec la venue soudaine de celui que l'Écriture annonce, de celui qui va être leur effroi. Leur surprise sera grande.





Chapitre 16 - Les bases de la connaissance (16)


(16) Lorsqu'on crée un outil, c'est par besoin. Et lorsqu'on l'utilise, ce besoin disparaît. On ne le crée donc pas deux fois. Pareillement, le Tout-Puissant forme les astres par sa science ; puis, à partir des conditions de vie qu'ils offrent, il crée toutes les espèces successives jusqu'à l'homme, pour que l'homme soit sa demeure. Sur Terre, comme sur chaque nouvelle terre de la Galaxie, Dieu crée les hommes de sorte qu'ils se multiplient ensuite eux-mêmes, en étant responsables de leur postérité. Pour se représenter cela, prenons ces exemples : comme la forêt ne peut exister sans les arbres qui la composent ni ces derniers sans la forêt où ils se trouvent, ou encore : comme l'astre ne peut exister sans les particules qui le constituent ni ces dernières sans l'astre où elles se forment, Dieu n'existe point sans les hommes ni ces derniers sans Dieu. Mais la forêt est plus grande que les arbres, l'astre est plus grand que les particules, et Dieu est plus grand que les hommes qui lui servent de demeure partout dans son univers. Ce sont là les dimensions de Dieu et celles des hommes !





Chapitre 16 - Les bases de la connaissance (24)


(24) Convenez, pour l'instant, que la venue de toute chose effective est forcée, obligée d'être. Il faut par exemple cesser de dire que c'est la feuille de l'arbre qui pousse de sa propre initiative, ne serait-ce parce que les choses et les êtres qui n'existent pas encore ne peuvent avoir de volonté... Mais puisque ce sont les conditions de vie données par les astres qui créent le besoin d'existence de l'arbre avec ses feuilles, il faut en conclure que tout est obligé d'exister tel quel et non autrement. Dites : tout ce que j'observe autour de moi, est obligé d'exister tel que je le vois, sinon il n'y aurait rien ! Ce sera l'une des premières paroles véritables que vous prononcerez dans le réel. Par comparaison, la non raison d'existence d'une chose ne permet pas à cette chose d'exister, parce qu'il n'y a rien qui puisse l'amener. En étant obligé d'exister, on ne peut l'être par hasard mais par volonté et dessein. Abstenez-vous alors de croire que tout pourrait être différent, car si cela pouvait être autrement, ce serait autrement et toujours tel quel... On est donc certain que tout ce qui s'offre aux regards est obligé d'exister tel qu'on le voit.





Chapitre 17 - Conception du monde (15)


(15) L'observation des êtres antérieurs ou contemporains montre à l'évidence que les espèces ont été créées telles qu'elles sont, en réponse des conditions de vie offertes, et qu'aucune d'entre elles n'est transformiste ni n'eut d'ancêtres de ce genre. Toutes furent composées telles qu'on les connaît, chacune à leur tour, à partir de ce qui existait en leur jour, dans leur ère, et en fonction de ce que devait être le monde. Cela fut ainsi depuis le précambrien jusqu'au quaternaire dans lequel nous nous trouvons.





Chapitre 17 - Conception du monde (20)


(20) Pensez toujours que le milieu naturel et l'être tiré de ce milieu sont un. Si donc le milieu naturel d'une créature change, cette créature, qui est un être achevé dès sa formation, ne peut être transformée pour suivre le mouvement. Au contraire, elle en subit les conséquences et disparaît. Une autre est alors créée en fonction des conditions de vie nouvelles. Voyez ainsi que les formes, les attributs et les aptitudes d'une créature lui sont donnés de l'extérieur par l'esprit, en fonction du milieu où elle est tirée pour y demeurer.





Chapitre 18 - L'interprétation de la science (27)


(27) Il est incontestable que ce n'est pas en mesurant la durée de vie d'un homme qu'on empêchera cet homme de passer sur Terre ; parce que le corps, qui est un corps fini et parfait, ne peut changer de formes. De ce fait, il ne peut suivre indéfiniment le travail de la Terre qui, avec le Soleil, change continuellement les conditions de vie des êtres.





Chapitre 18 - L'interprétation de la science (31)


(31) Sans eux et tous ceux qui, comme eux, imposent leurs règles aux peuples, la durée de vie serait aujourd'hui de cent vingt ans. C'est ce que Dieu dit dans l'Écriture car, depuis la stabilisation de sa distance au Soleil, la Terre n'a cessé d'améliorer les conditions de vie. Tenez-vous alors éloignés de ceux qui confondent la science du Créateur avec laquelle on existe, avec celle des savants par laquelle on périt.





Chapitre 21 - La matière (29)


(29) Par conséquent, et en raison de ce que l'on a déjà vu sur la densification progressive de la magnétosphère, on comprend qu'un être s'élevant loin dans l'espace s'affaiblira de plus en plus dans une magnétosphère dont la densité est bien inférieure à ce qu'elle est sur le sol où se trouvent les conditions de vie des êtres. Nous sommes faits de tout ce qui existe. Or, la magnétosphère fait partie des éléments de l'existence, et n'en est pas le moindre je vous le dis. Car, comme elle charge les nuages d'électricité, elle charge pareillement les êtres pour vivre et se mouvoir, mais d'une force beaucoup plus ténue et délicate.




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