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Résultats de la recherche : nature

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Chapitre 2 - Les jours du Fils de l'homme (4)


(4) Mais nul ne pouvait savoir que ce petit enfant blond qui venait de naître était celui qui conduirait la créature dans toute la vérité, sinon, il y a déjà longtemps que l'on m'aurait brisé les os. Néanmoins rien ne me distinguait des autres enfants, si ce n'est cette grande curiosité que j'avais pour la nature qui guidait tous mes pas. J'étais émerveillé par tout ce que je voyais. La nature fut la passion de mon enfance et les fondations inébranlables de mon existence, car toutes les bêtes m'apprirent quelque chose séparément. Je vis aussi qu'elles occupaient tous les espaces, et qu'elles obéissaient à des règles qui se trouvaient en elles et qui leur permettaient d'évoluer avec aisance et faveur dans le milieu naturel d'où elles sortaient. Par ailleurs, les orages de grêle, les ronces, les épines, les orties et autres blessures, ainsi que les bêtes venimeuses, les champignons vénéneux, les maladies, les fautes, les mauvaises appréciations, et les efforts journaliers que chacun devait produire pour trouver sa subsistance, m'apprirent de bonne heure ce qu'était l'adversité qu'il fallait vaincre quotidiennement pour tirer plaisir de l'existence.





Chapitre 14 - L'altération du monde (11)


(11) Là encore, n'imaginez pas que ces êtres répugnants iront dans le royaume, qui est le sanctuaire, car Dieu n'habite que des hommes saints. 0n ne naît pas homosexuel, mais on peut le devenir par le milieu dans lequel on arrive ou par l'éducation que l'on reçoit. Il s'agit d'une infirmité spirituelle, d'un dérèglement provenant de l'iniquité des pères qui se porte sur les enfants ; car ces hommes dénaturés sont les victimes de l'infâme civilisation romaine dans laquelle le monde entier se trouve. Paul ne l'aurait-il pas suffisamment montré ? A leur sujet, il dit encore :

Dieu les a livrés à l'impureté selon les convoitises de leurs coeurs ; en sorte qu'ils déshonorent eux-mêmes leur propre corps ; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes ; car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.





Chapitre 18 - L'interprétation de la science (8)


(8) C'est pour ces raisons évidentes que Dieu a demandé à l'homme de ne point manger l'arbre de la connaissance, car ceux qui le font avant l'heure veulent rivaliser avec Lui. Ce qui est la pire chose qui puisse arriver à l'homme ; parce que, changer la nature des choses et des êtres ébranle l'ordre originel et voue le monde à disparaître – On ne peut pas domestiquer la Nature, on ne peut que la détruire – C'est pourquoi, et bien que l'esprit puisse tout sonder jusqu'aux profondeurs de Dieu, la curiosité humaine ne doit point amener à modifier ce par quoi l'on vit, comme le font avec insolence ceux que vous connaissez. Sont-ils plus que le Créateur pour modifier ses oeuvres ? Puisque l'homme n'a rien créé et qu'il existe lui-même indépendamment de sa volonté, il ne doit en aucun cas transformer la Nature qui est la source de son être. Car, la vie, c'est la conscience et l'amour des oeuvres de l'Éternel, ce n'est pas ce qui les détruit.





Chapitre 30 - Force et mouvement (27)


(27) Pour être conforme à la nature, nous devons par conséquent vivre à l'heure solaire seulement et au rythme des saisons, qui montrent ensemble la vitesse avec laquelle nous passons sur Terre. Ne point le faire, c'est déjà se dénaturer. Et se dénaturer, c'est s'affaiblir, en perdant les facultés de comprendre et de demeurer.





Chapitre 44 - L'Homme et son devenir (7)


(7) En raison de cela, et puisque la science est ce qui fait l'homme et non ce que l'homme fait, on ne doit rien changer sur la Terre, rien modifier, rien dénaturer, tout doit rester dans son originalité. Les sites, les végétaux, les animaux et les hommes ; ainsi que les eaux et les cours d'eau, les forêts, l'air et le climat ne doivent aucunement être modifiés, car ce qui existe indépendamment de toute volonté humaine est l'oeuvre de Dieu. Aussi, d'aucune façon et pour aucune raison, on ne doit aménager le territoire à sa convenance, ni changer la nature pour l'adapter à la pensée humaine ou à quelques stratégies. Au contraire, chacun doit utiliser ses facultés pour se conformer à la nature et la garder telle qu'elle a été créée. Cela n'étant point ce que vous pratiquiez, mais le contraire, la Terre est devenue invivable et prête à vous abandonner. Voilà pourquoi vous êtes désespérés !





Chapitre 57 - La vie simple du sanctuaire (30)


(30) Vous reviendrez alors à des méthodes simples. Par exemple, vous garderez le vin dans des tonneaux, les céréales et l'huile dans des jarres, les autres denrées dans des pots de terre émaillée ou dans des récipients de verre dépourvus d'air et dûment fermés, car il n'y a pas mieux pour préserver leurs qualités. Avec ce même esprit, vous confectionnerez vos vêtements avec des matières naturelles que vous teindrez dans les coloris dégradés de la nature ; et vos maisons seront pareillement bâties avec les matériaux locaux. Ainsi, avec cette vie naturelle et simple, vous garderez le sommeil paisible de votre enfance. Vous serez alors en bonne santé, et heureux d'évoluer sur la Terre avec laquelle vous vous confondrez.





Chapitre 2 - Les jours du Fils de l'homme (12)


(12) Convaincu que les nations allaient inéluctablement à leur fin, et que j'y contribuais par mes activités, cette fois je mourus pour le monde dans lequel plus rien ne m'intéressait. J'avais trente-trois ans. Je continuai mes activités cependant, mais avec l'idée de retrouver bientôt ma liberté originelle et la nature qui me manquaient tant. Je décidai alors de retirer mes pieds de ce monde et de partir sur la mer avec une jeune femme que j'avais rencontrée et qui devint ma concubine. Il me fallait donc me démunir de mon entreprise et de mes biens, en premier lieu pour retrouver ma dignité. Mais avant cela, je devais me construire une barque à voile (un navire) pouvant traverser les mers. Ainsi se réalisa tout ce que j'avais prévu. Je conçus le navire que j'avais imaginé, et le construisis avec un ami. entre-temps, je cédai mon entreprise. Il ne m'en resta rien. Mais j'en étais soulagé ; car je ne voulais plus avoir à faire avec l'argent, ni avec la servitude et les impôts, pas plus qu'avec les projets insensés des hommes. Je ne désirais que la liberté que j'avais eue au temps de mon enfance, au milieu de la nature.





Chapitre 10 - La circoncision du coeur (9)


(9) Alors je vous le dis, celui qui
se lève pour s'arroger des pouvoirs sur autrui ;
recherche la gloire et les honneurs ;
renie Dieu et s'en glorifie ;
trompe son prochain ;
déclare licites les pires immoralités ;
se façonne sa ligne de conduite avec le mensonge ;
se prosterne devant le veau d'or, son dieu ;
retient prisonniers les êtres humains, ainsi que tout ce qui respire ;
menace et opprime son prochain ;
cherche à être le premier à tout prix ;
vit aux dépens de ses semblables ;
s'empare des biens ou des pays d'autrui ;
dénigre et rabaisse la femme ;
ensevelit les pays sous du ciment, du bitume ou du fer ;
dénature, pollue, contamine et défigure les campagnes ;
adapte la nature à ses pensées, en détruisant l'ordre originel ;
celui-là donc, qui n'a point d'inquiétude de conscience, est le contraire même de ce que prêche le Christ et que l'existence réclame. Il est l'antéchrist annoncé, le destructeur que Dieu me demande de combattre jusqu'à ce qu'il disparaisse à jamais de ce monde.





Chapitre 10 - La circoncision du coeur (24)


(24) La loi de Moïse n'est pas écrite pour les circoncis de coeur qui la portent naturellement en eux. Elle est écrite seulement pour ceux qui ne sont pas circoncis et qui, en la pratiquant, auraient pu devenir saints d'esprit et être sauvés. Moïse vous ayant demandé de circoncire vos coeurs, et moi vous apprenant ce dont il s'agit, vous saisissez alors que ceux qui prétendent être le peuple élu, parce qu'ils sont circoncis par la main de l'homme, se trompent grandement sur leur nature.





Chapitre 17 - Conception du monde (21)


(21) En raison de cette évidence, il ne faut plus dire qu'une plante ou une bête s'est dotée elle-même d'attributs, ou encore qu'elle a développé une quelconque stratégie pour s'adapter à des conditions nouvelles de vie. Non, pensez plutôt qu'elle a été formée telle qu'elle est, pour qu'elle subsiste durablement dans son milieu naturel. C'est pourquoi, n'affirmez plus que la nature a des pouvoirs car, le seul pouvoir dont elle dispose, c'est celui de garder son caractère originel pour demeurer.




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