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Résultats de la recherche : serpent

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Chapitre 9 - Les deux témoins (6)


(6) Je revins d'abord sur les six jours et le septième jour, ainsi que sur le serpent, sur ce fameux serpent qui parle à Eve. Puis j'observai ce que faisait Moïse avec le serpent qui devenait une verge dans sa main. Je regardais l'un (les six jours) et l'autre (le serpent) plusieurs fois. Puis, tenant le Livre ouvert aux deux endroits indiqués, je redessinai le serpent décrivant les va-et-vient de la Terre (inconnus des hommes) qui représentaient les ères que nul ne pouvait expliquer. J'observai encore une fois les six jours et le septième jour, puis le serpent qui faisait fuir Moïse, ainsi que celui que j'avais dessiné. La vision que j'eus alors me fit tomber sur ma face ! Car je compris soudainement ce que Moïse montrait et expliquait, et aussi qu'il avait éprouvé la même crainte que celle que j'avais éprouvée devant ce serpent d'importance qui exprimait tout. Cette fois, je venais de trouver ce que je cherchais ; c'est-à-dire la confirmation de ce que j'avais démontré, et qui était celui qui l'avait démontré. Je vous le dis, jamais homme ne sera ébranlé comme je l'ai été en ces jours-là. J'en étais transfiguré.





Chapitre 9 - Les deux témoins (5)


(5) Je commençais à parcourir les Écritures depuis leur début, depuis les six jours de la création et le septième jour où Dieu se reposa de son oeuvre. Dans ma lecture première, je ne comprenais pas le sens de ce que je lisais. Je continuais cependant et, arrivé à Moïse, je vis qu'il parlait d'un serpent : de sa verge qu'il tenait à la main et qui devenait un serpent lorsque Dieu lui demandait de la jeter par terre. Cela m'amusait et m'agaçait à la fois, car je n'en comprenais pas le sens. Malgré cela, je parcourus tout le livre dont plusieurs passages me renvoyaient mon image me semblait-il, que je ne voulais point voir toutefois. Je refermai le Livre et laissai passer les jours sur ma barque. Mais par la suite je me suis réveillé, car il me semblait que quelqu'un m'avait touché l'épaule, en me disant que c'était l'heure de me lever. Lorsque je fus réveillé, je me souvins de ce fameux serpent que j'avais dessiné et qui me fit fuir loin de lui. Je me souvins aussi du serpent de Moïse, ainsi que des six jours et du septième jour de la création que je n'avais pas saisis. Je décidai alors de retourner voir l'Écriture.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (28)


(28) Jusqu'à Jean, il y eut Moïse, sa table et sa plume ; cet homme sans lequel le monde humain n'aurait pu parvenir jusqu'à ce jour où je vous prends de sa main pour vous emmener dans le royaume. Mais parce que dans le désert les hommes parlèrent contre Dieu et contre Moïse, l'Éternel dit à Moïse :

Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie. Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent et regardait le serpent d'airain, conservait la vie.





Chapitre 9 - Les deux témoins (9)


(9) Il est en effet impossible que Dieu n'apparaisse point à celui dont la verge se change en serpent, car ce dernier est l'expression de tout ce qui se produit dans le ciel et sur la Terre. Si intelligent soit-il, l'homme ne peut pas découvrir la vérité de lui-même ; il ne peut la découvrir qu'en étant conduit en elle par le Créateur, comme je le fus. Que signifie donc ce premier signe dont le sens échappe à tout homme né de femme ?
En voici l'explication : Au temps des pharaons de l'Égypte servile, Moïse avait dans sa main une plume pour écrire avec laquelle il fustigeait ceux qui exploitaient d'autres hommes. En ce temps-là, peu d'hommes étaient libres et beaucoup étaient dans la servitude. Sa plume était cette verge avec laquelle il frappait la Terre de sa parole. Voyant alors que Moïse se dressait contre l'injustice et la méchanceté, Dieu se manifesta à lui et lui fit connaître toute la vérité. Il lui montra les six jours durant lesquels Il créa le monde et le septième jour, qui est le jour de son repos dans lequel il ferait entrer tous ceux qui marcheraient avec lui. Ces sept jours étant relatifs, comme je l'ai dit, aux ères terrestres qui, dessinées par terre, ont l'aspect d'un serpent. C'est ainsi que sa verge se transforma en serpent, et que ce dernier redevint une verge dans sa main.





Chapitre 16 - Les bases de la connaissance (5)


(5) Dès qu'il eut créé le monde, Dieu défendit à l'homme de manger de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, parce que ce n'était point encore l'heure où il pouvait discerner l'un l'autre. Il lui intima cet ordre :

Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.

A la suite de quoi, le serpent dit à la femme :

Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.

Séduite par ces paroles prometteuses du serpent, la femme mangea du fruit de l'arbre de la connaissance. Elle en donna aussi à son mari, et il en mangea. Cela mit Dieu en colère, et Il réprimanda la femme. Puis Il dit au serpent :

Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t'écrasera la tête, et tu la blesseras au talon.

Il réprimanda aussi l'homme. Puis Dieu vêtit Adam et Eve (aujourd'hui avec la connaissance). Après quoi Il dit :

Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement.





Chapitre 16 - Les bases de la connaissance (8)


(8) Mais, parce qu'elle enfante comme la Terre, en prolongeant ainsi l'oeuvre du Créateur, la femme crut que l'homme ne serait point châtié s'il désobéissait à Dieu. Elle pensait au contraire, et comme le serpent le lui a dit, qu'au terme des six jours où le monde apprendrait la vérité, tous les hommes et toutes les femmes ouvriraient les yeux et seraient comme des dieux connaissant le bien et le mal. Elle ne saisit manifestement pas l'avertissement de Dieu, et se laissa aisément séduire par les paroles prometteuses du serpent. Il s'agit évidemment d'une allégorie là aussi (car les serpents ne parlent pas), pour montrer que, durant les ténèbres, l'homme n'écoute point Dieu son Créateur. Aussi, le monde qu'il bâtit est un monde de plus en plus douloureux.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (27)


(27) Maintenant vous croyez. Parce que vous voyez que Moïse d'abord et le Fils de l'homme ensuite sont véritablement ensemble sur la montagne de l'Éternel. Lorsqu'on regarde la figure de l'évolution de la Terre, ne voit-on pas un serpent ? Dès le début du livre, j'ai parlé de ce serpent, de ce fameux serpent qui redevient une verge dans la main de Moïse avec laquelle il frappe la terre de sa parole. Je vous le dis, Moïse savait lui aussi ce qu'il en était de l'histoire du monde, car Dieu l'éclaira comme il m'a éclairé. Il connaissait les ères et les écrivit pour qu'elles servent de témoignage lorsque je les démontrerais au monde entier.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (29)


(29) Il a déjà été expliqué que ce serpent accomplit véritablement des miracles ; parce qu'il guérit celui qui le regarde, même s'il a été empoisonné par les serpents, que sont les hommes sans lumière et sans espérance. Le serpent le guérit et lui conserve la vie, parce qu'il lui montre les origines et la destinée de chacun. Il lui montre aussi comment il doit se conduire avec la loi de Moïse pour garder son âme vivante et prendre part au royaume dans les mondes à venir. Mais nous ne sommes plus au temps des figures allégoriques, car ce temps-là, propre au désert, est désormais achevé. Nous sommes au temps où l'homme finit sa traversée du désert et entre de plain-pied dans la vérité, au temps où il ouvre les yeux pour voir le réel tel qu'il est et s'allier aux mondes des anges qui peuplent la grande Roue. Mais si vous ne croyez pas aux évidences, vous ne subsisterez pas ; car c'est pour vous garder en vie que nous sommes envoyés devant vous.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (30)


(30) Jésus dit :

Et comme Moïse éleva le serpent (la figure des sept jours) dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.

Moïse a en effet élevé ce serpent au ciel, mais vous ne l'avez point vu. Pourtant tout est révélé dans les six jours, suivis du septième jour qui est le jour où Dieu se repose de son oeuvre ; car cette fois, connaissant la vérité, les hommes cesseront de détruire la Terre et de s'entre-tuer comme ils le font sans la connaissance. A vous donc de comprendre ce que signifie : élever le serpent dans le désert, ainsi que l'analogie qui est faite avec le Fils de l'homme, attestant, par sa connaissance, l'oeuvre de Moïse, de celui qui a la même vision des temps.





Chapitre 9 - Les deux témoins (4)


(4) Mais quand je revins pour écrire dans un livre tout ce que j'avais vu dans le ciel, et notamment les va-et-vient que la Terre fit auprès du Soleil, je dessinai ceux-ci pour mieux les représenter. Je vis alors que je venais de dessiner un serpent qui expliquait mieux qu'une bouche les choses célestes et terrestres, tant étaient grandes les révélations qu'il faisait et dont j'eus peur. Je laissai ce serpent là et je m'enfuis loin de lui, car je voyais bien qu'il exprimait l'univers entier ! Il me fallut quelque temps pour me remettre de mes émotions. Après quoi j'eus besoin d'un témoignage sur ce que j'avais vu, et aussi sur moi qui avais écrit ces choses. Qui suis-je, me disais-je, pour démontrer à l'évidence l'univers entier ? Les hommes ignorent la vérité, ce n'est donc point vers eux qu'il me faut me tourner. Regarde plutôt l'Écriture, pensais-je.




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