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Résultats de la recherche : galaxies

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Chapitre 20 - Observations du réel (4)


(4) L'univers comprend à la fois l'essence de l'espace, et les galaxies sans nombre qui trouvent corps grâce à cette essence. L'essence est donc LA MATIÈRE. Les galaxies, au milieu desquelles nous avons précédemment évolué, sont ainsi comparables à des troupeaux d'astres qui paissent tranquillement cette essence qui sert à les former et à entretenir leur perpétuel renouvellement. Mais si dans un troupeau quelconque il y a plus de naissances que de disparitions, ce troupeau grandit d'autant ; et le contraire se produit s'il y a plus de disparitions que de naissances. Par conséquent, si ces deux phénomènes contraires ne sont pas d'égale importance, le troupeau grandit ou diminue. Mais s'il y a équivalence des naissances et des disparitions, le troupeau reste tel qu'il est. Un troupeau peut ainsi diminuer plus ou moins vite et augmenter ensuite. Il en est de même pour les galaxies qui se nourrissent de l'essence de l'espace. Il suffit alors d'en saisir une pour toutes les saisir, parce que l'activité électromagnétique ne permet pas l'existence de galaxies de nature différente.





Chapitre 19 - Les mondes de l'univers (2)


(2) Il n'est pas indispensable d'observer ce que renferme l'univers avec des télescopes, parce qu'il ne peut être pressenti et démontré que par son seul côté matériel. Pour le saisir pleinement, il faut comprendre d'abord qu'il est un volume entièrement composé de matière ; c'est-à-dire qu'il est le contraire du vide. En effet, tout comme le temps, l'espace n'existe que par la matière qui le forme. C'est pourquoi j'ai dit qu'entre les astres et entre les galaxies, l'espace est un volume tout en matière éthérée. On est certain qu'il en est ainsi, parce qu'un volume ne s'entend nullement par des formes ou par des limites, mais uniquement par la matière qui le compose et au sein duquel il y a des distances, des intervalles. Il est pour cela fort aisé de voir que l'espace intersidéral et intergalactique est un volume intégralement matériel, ne serait-ce que par les distances qui séparent les astres et les galaxies. Mais bien d'autres choses nous montreront que l'espace est entièrement formé de matière éthérée et subtile à l'origine des particules qui composent les astres, et ces derniers les galaxies.





Chapitre 19 - Les mondes de l'univers (11)


(11) Si nous pouvions voir notre Galaxie couchée au-dessus de l'horizon, comme si nous en étions sortis avec la Terre et que nous la regardions de loin, n'est-ce pas le plus grand et le plus beau spectacle auquel nous assisterions ? Imaginons alors qu'avec la Terre seule nous partions plus loin encore dans l'espace intergalactique, jusqu'à ce que nous nous trouvions à mi-distance de la galaxie voisine vers laquelle nous allons. Depuis cet endroit, cette galaxie et la nôtre sont de même taille et fort petites à nos yeux. On remarque alors qu'on ne distingue plus leurs étoiles. Nous ne voyons que la lumière générale des deux galaxies et non leurs étoiles que nous ne pouvons plus distinguer. Partout où nous regardons dans l'espace, nous apercevons des points lumineux semblables. Ces points ne sont pas des étoiles mais des galaxies, des myriades de galaxies en tous sens et de loin en loin qui occupent tout le volume de l'univers. Quel spectacle !





Chapitre 28 - Les familles stellaires (5)


(5) Il est évident que l'influence réciproque des étoiles est aussi celle des galaxies qui sont composées d'étoiles... Effectivement, tout comme les étoiles, les galaxies se maintiennent à distance par leur souffle. Je dis qu'en s'attirant les unes les autres par leur immense magnétosphère qui les oblige à rester groupées, et à former de la sorte de longues traînées dans l'espace, les galaxies se maintiennent également à distance par leur souffle respectif. Car si une étoile souffle, toutes le font, en formant ainsi un très grand souffle capable de maintenir le troupeau (la galaxie) à distance d'un autre qui en fait autant.





Chapitre 28 - Les familles stellaires (14)


(14) Comme on l'a dit, lorsque dans un troupeau le nombre des naissances dépasse celui des disparitions, ce troupeau augmente de taille. Contrairement, lorsque les disparitions sont supérieures aux naissances, ce troupeau s'évanouit lentement. Il en est de même pour les galaxies qui peuplent l'univers. Toutefois, ce qu'il est important de connaître, ce n'est point le nombre de galaxies, car il s'agit d'un nombre sans commencement ni fin, mais qu'il y ait autant de matière intégrée (les astres) que de matière désintégrée (l'espace) ; sinon, il va de soi qu'il y aurait instabilité et inexistence des galaxies.





Chapitre 18 - L'interprétation de la science (4)


(4) Mais pour s'imposer à la face du monde, ces fils de ténèbres, qui renient l'Éternel, devaient se trouver un autre créateur convenant mieux à leur immense vanité. Ils le cherchèrent et le trouvèrent dans un jeu de dés appelé : HASARD, et l'imposèrent aux esprits. Celui-ci étant alors devenu le père de tout, il leur fallait une mère ; ils se la firent avec l'ÉVOLUTION. Une raison à la vie s'imposait alors, ils la trouvèrent dans la NÉCESSITÉ D'EXISTER. Ils devaient cependant concevoir un commencement à l'univers, ils le façonnèrent avec l'EXPLOSION soudaine, à un moment précis, d'une matière mystérieuse, existant de toute éternité et venant de nulle part, qui ne pouvait errer plus longtemps dans l'espace sans limite. Mais, en pensant que cette explosion extraordinaire et le chaos qui s'en suivit avaient donné naissance aux galaxies bien ordonnées dans leurs mouvements et à tout ce qui s'y trouve, ils étaient fort soucieux ; car, pour ne pas avoir inventé l'éternité avec leur commencement de l'univers, il était urgent d'y trouver une fin... Ils la cherchèrent de tous côtés et finirent par la voir dernièrement dans leurs fameux TROUS NOIRS, qu'ils ne localisent pas à l'intérieur de leur crâne toutefois mais à l'extérieur, dans l'espace, et forcément loin d'ici, où ils avalent goulûment les galaxies qui ont assez duré. Où peuvent-elles aller, s'interrogent-ils alors ? Ceux qui imaginent fort bien cela les font passer dans un UNIVERS PARALLÈLE au nôtre. De quoi est-il fait ? D'ANTIMATIÈRE évidemment ! répondent les plus rusés, qui utilisent ce subterfuge pour s'aménager une sortie devant ceux qui les interrogent... Mais il leur fallait déterminer une certaine durée à leur univers qu'ils limitent dans le temps. Aussi, avec beaucoup de générosité, ils l'autorisèrent à vivre pendant VINGT MILLIARDS D'ANNÉES... Quinze sont déjà passées, disent-ils...





Chapitre 19 - Les mondes de l'univers (3)


(3) Pour qu'il n'y ait pas de confusions dans vos esprits, sachez pour toujours que les galaxies qui meublent l'espace de loin en loin sont des roues composées d'étoiles avec leurs astres, et de nuages de vapeurs et de poussières provenant de leur travail. Avec la famille solaire, nous sommes à l'intérieur de l'une de ces roues et parmi les mondes qu'elle renferme et qui sont aussi nombreux que les étoiles. Ces mondes sont la raison d'être des galaxies qui remplissent l'espace.





Chapitre 19 - Les mondes de l'univers (6)


(6) Pour l'instant, retenons seulement que les astres qui constituent une galaxie sont des masses aimantées ayant chacune une magnétosphère. Ces magnétosphères, qui se font sentir très loin dans l'espace, s'ajoutent les unes aux autres pour n'en former plus qu'une seule et immense qui entoure la galaxie. Inversement à cela, les étoiles de cette galaxie brûlent et se consument en rendant à l'espace l'essence qui leur a donné corps. C'est ce qui constitue le vent solaire et le vent de toutes les étoiles qui forment ensemble un très grand souffle galactique et une immense lumière. Cela étant, les galaxies sont entourées à la fois d'une magnétosphère (qui est comparable à une aspiration) et d'un souffle (qui est comparable à une expiration), car la magnétosphère est l'essence qui arrive sur elles, et le souffle est l'essence qui en repart. La magnétosphère est l'apport de matière, qui fait partie de l'INTÉGRATION. Le souffle est la dépense de matière, qui fait partie de la DÉSINTÉGRATION. Apport et dépense continuels de la matière donnent existence aux galaxies qui, de la sorte, se renouvellent perpétuellement.





Chapitre 19 - Les mondes de l'univers (12)


(12) Maintenant éloignons-nous à volonté de nos deux galaxies, et allons à la rencontre des suivantes aussi vite que nous le ferions en marchant sur les pierres d'un gué. Avançons ! Avançons ! Et faisons-le pendant mille de nos années ! Durant tout ce temps, jamais nous ne rencontrons de fin, et jamais nous ne sommes dans le néant où il n'y a point de lumières visibles, car partout les galaxies luisent au loin. Éloignons-nous encore, toujours en ligne droite, et pendant cent millions d'années cette fois ! Nous ne nous heurtons jamais à une barrière, nous ne rencontrons jamais de mur, car il n'y a ni limite ni bord ni fin. Les points lumineux sont toujours devant nous. On en aperçoit ici et là, formant des traînées dans l'espace, mais il y en a partout ! Cela fait maintenant cent millions d'années terrestres que nous avons perdu de vue notre Galaxie, et nous avançons toujours... toujours... toujours... L'univers, c'est toujours.





Chapitre 19 - Les mondes de l'univers (15)


(15) Le mouvement de rotation de notre Galaxie ne peut nous apparaître depuis la Terre. Cependant, en nous trouvant vers le bord (dans le tiers inférieur) et loin du centre de cette grande roue, nous nous déplaçons dans l'espace à une vitesse inouïe ! Et les distances que nous parcourons sont effrayantes ! En nous déplaçant de la sorte, comme sur un cercle, nous nous éloignons constamment de certaines galaxies et allons à la rencontre d'autres. Celles dont nous nous éloignons à vive allure nous apparaissent forcément plus rouges que blanches, tandis que celles dont nous nous approchons nous apparaissent plutôt bleues que blanches, parce que la vitesse de notre déplacement fait varier leur couleur à nos yeux. Or, ce phénomène du changement de couleur aggrave considérablement le défaut de vision des savants. Car, en voyant les galaxies s'éloigner d'eux, alors que ce sont eux qui s'éloignent d'elles, ils ne peuvent s'empêcher d'en conclure que l'univers est en expansion... C'est ce qu'ils enseignent.




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