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Résultats de la recherche : servitude

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Chapitre 2 - Les jours du Fils de l'homme (12)


(12) Convaincu que les nations allaient inéluctablement à leur fin, et que j'y contribuais par mes activités, cette fois je mourus pour le monde dans lequel plus rien ne m'intéressait. J'avais trente-trois ans. Je continuai mes activités cependant, mais avec l'idée de retrouver bientôt ma liberté originelle et la nature qui me manquaient tant. Je décidai alors de retirer mes pieds de ce monde et de partir sur la mer avec une jeune femme que j'avais rencontrée et qui devint ma concubine. Il me fallait donc me démunir de mon entreprise et de mes biens, en premier lieu pour retrouver ma dignité. Mais avant cela, je devais me construire une barque à voile (un navire) pouvant traverser les mers. Ainsi se réalisa tout ce que j'avais prévu. Je conçus le navire que j'avais imaginé, et le construisis avec un ami. entre-temps, je cédai mon entreprise. Il ne m'en resta rien. Mais j'en étais soulagé ; car je ne voulais plus avoir à faire avec l'argent, ni avec la servitude et les impôts, pas plus qu'avec les projets insensés des hommes. Je ne désirais que la liberté que j'avais eue au temps de mon enfance, au milieu de la nature.





Chapitre 9 - Les deux témoins (9)


(9) Il est en effet impossible que Dieu n'apparaisse point à celui dont la verge se change en serpent, car ce dernier est l'expression de tout ce qui se produit dans le ciel et sur la Terre. Si intelligent soit-il, l'homme ne peut pas découvrir la vérité de lui-même ; il ne peut la découvrir qu'en étant conduit en elle par le Créateur, comme je le fus. Que signifie donc ce premier signe dont le sens échappe à tout homme né de femme ?
En voici l'explication : Au temps des pharaons de l'Égypte servile, Moïse avait dans sa main une plume pour écrire avec laquelle il fustigeait ceux qui exploitaient d'autres hommes. En ce temps-là, peu d'hommes étaient libres et beaucoup étaient dans la servitude. Sa plume était cette verge avec laquelle il frappait la Terre de sa parole. Voyant alors que Moïse se dressait contre l'injustice et la méchanceté, Dieu se manifesta à lui et lui fit connaître toute la vérité. Il lui montra les six jours durant lesquels Il créa le monde et le septième jour, qui est le jour de son repos dans lequel il ferait entrer tous ceux qui marcheraient avec lui. Ces sept jours étant relatifs, comme je l'ai dit, aux ères terrestres qui, dessinées par terre, ont l'aspect d'un serpent. C'est ainsi que sa verge se transforma en serpent, et que ce dernier redevint une verge dans sa main.





Chapitre 9 - Les deux témoins (22)


(22) Mais vos pères sont devenus durs d'entendement, ils n'ont point voulu écouter ni saisir le message. Ils préférèrent des rois qui, après avoir imposé leurs préceptes et leurs coutumes, devinrent ceux qui vous gouvernent en multipliant au centuple les méfaits de ceux qui les ont précédés. Et vous voici toujours dans la servitude, assis au lieu du péage (le lieu du temps) tels Matthieu et Lévi qui vous représentent ; car il vous faut tout payer, à tout instant, jusqu'à l'eau que vous buvez ! Suivez-moi donc, d'autant que vous êtes également assis dans la région et l'ombre de la mort, juste au bord de l'apocalypse qui est une grande détresse ne pouvant être évitée. Qu'allez-vous dire maintenant ? Contre qui allez-vous crier ? Vous dites : nous chantions les cantiques que nous voulions et Dieu ne nous a pas entendus ! Nous avons dansé et il ne nous a point vus ! Nous faisons ce que nous voulons ! Assurément, après vous avoir prévenus, Dieu vous a laissés faire ; mais il vous a vus faire vos oeuvres et entendus chanter vos cantiques dirigés contre lui. Acceptez donc que la fin soit cette leçon éternelle que le monde rebelle devait se donner, afin que l'horreur ne puisse revenir et que chacun se soumette à son Créateur et à ses règles. Convenez aussi que si je ne vous sermonnais pas sur la montagne, vous ne feriez point partie des rescapés.





Chapitre 10 - La circoncision du coeur (11)


(11) La circoncision du coeur montre les saints d'esprit. C'est pourquoi, je vous dis ouvertement qu'on ne peut fondre les sept éléments de la sainteté sur le visage de ceux qui gouvernent le monde, vous trompent, vous tyrannisent et vous soumettent de force à la servitude et à la rançon, quand ils ne vous envoient aux abattoirs de leurs guerres qu'ils estiment nécessaires à leur domination. Ils ont établi leurs lois depuis le matin du monde, et dévastent la Terre sans scrupules. Ils ne font aucun cas des conditions de vie naturelles des créatures. Mais, même avec leurs scandales, ils étaient indispensables au monde ; parce qu'ils sont l'ivraie qui devait pousser, fleurir et prospérer, pour servir d'exemple et être extraite à jamais de la Terre. C'est ici la promesse de Dieu pour les jours de la moisson à la fin des temps dans lesquels vous êtes arrivés, et le sens de la parabole du blé et de l'ivraie qu'expliquait Jésus et que voici :

Jésus leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l'ivraie parmi le blé, et s'en alla. Lorsque l'herbe eut poussé et donné du fruit, l'ivraie parut aussi. Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n'as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D'où vient donc qu'il y a de l'ivraie ? Il leur répondit : C'est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l'arracher ? Non, dit-il, de peur qu'en arrachant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.

Quelque temps après, ses disciples lui demandèrent avec insistance : Explique-nous la parabole de l'ivraie du champ. Il répondit : Celui qui sème la bonne semence, c'est le Fils de l'homme ; le champ, c'est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume (les élus) ; l'ivraie, ce sont les fils du malin (les impies) ; l'ennemi qui l'a semé c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges (vous qui comprenez). Or, comme on arrache l'ivraie et qu'on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde. Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l'iniquité ; et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !





Chapitre 10 - La circoncision du coeur (25)


(25) Sachez également que l'Egypte est la figure spirituelle des nations, et que Dieu m'a appelé, comme Moïse, hors des nations. Sortir d'Egypte, ne signifie pas sortir de cette nation, cela signifie sortir de la servilité pour servir Dieu et non plus la créature. Moïse a pris l'Egypte servile en symbole des nations dans lesquelles les enfants de Dieu et ceux qui ne le sont pas sont mélangés et tyrannisés ensemble par les rois, par les chefs de gouvernement et leurs ministres, et tous ceux qui les servent. Cessez donc de voir le peuple de Dieu sortir de la nation égyptienne pour aller dans le désert de sable ; car sortir d'Egypte pour se diriger vers la Terre promise, c'est sortir de la servitude pour se diriger dans le royaume où tout homme sera libre comme l'oiseau. Il s'agit du passage de ce monde dans l'autre monde, et de la pâque forcément !





Chapitre 13 - Les temps messianiques (20)


(20) Ce que j'explique, c'est qu'en suivant les boucs et en obéissant à leurs règles, les hommes sont devenus si faibles dans le raisonnement et si inversés dans le jugement, qu'ils ne parviennent pas à déduire qu'il suffit d'ôter ce veau de la Terre (la monnaie des nations) pour faire disparaître la misère, la douleur, l'injustice, la guerre, la destruction et la dévastation ; ainsi que la corruption, la domination, la servitude, la maladie et sauver la postérité. Non, nul n'y parvient !





Chapitre 13 - Les temps messianiques (27)


(27) Peut-être qu'alors parviendrez-vous à lire l'Écriture dans son sens véritable et à saisir pourquoi Jésus appelle Élie (Emmanuel) du haut de sa croix ? Oui, il se peut que vous y parveniez si les mensonges et les calamités du monde qui en sont les conséquences ne vous échappent pas :

Les intelligents règnent certes, mais les nations brûlent !
Les hommes s'entassent comme des sauterelles dans les villes et se corrompent ;
La violence progresse ;
Les pays se couvrent d'armes diaboliques et de militaires avides de sang ;
Les menaces s'accroissent, les guerres se multiplient ;
Les villes rongent les parties voisines en se développant comme des tumeurs ;
Des sites sont défigurés, d'autres contaminés ou interdits ;
Et la campagne effraie désormais.
La servitude s'intensifie ;
Les faibles sont méprisés, opprimés ou rejetés ;
Les pauvres sont délaissés, et les enfants manipulés ;
Les vieillards sont abandonnés ;
Des peuples entiers souffrent de famine.

Les espèces sont dénaturées par ceux qui ne font aucun cas de la création ;
Tout ce qui est naturel disparaît ou devient abominable aux yeux de tous.
La mer est pillée ;
La surface de la Terre est souillée et meurtrie, ses entrailles sont bouleversées ;
Les forêts disparaissent ;
Les cours d'eau se putréfient ;
L'eau potable diminue ;
Les machines de fer jettent les hommes et le bétail par-dessus bord, quand elles ne
les écrasent et les tuent ;
Les maladies prolifèrent, s'aggravent et augmentent leur étendue ;
Les espèces animales se raréfient, beaucoup ne sont plus que des souvenirs ;
L'ordre originel est gravement ébranlé.
Les valeurs de l'existence défendues par la loi sont foulées au pied ;
La foi et l'espérance se sont envolées ;
La sagesse et le bon sens n'existent plus ;
Les jeunes gens se désespèrent, un grand nombre se donne la mort.
Et vous ne seriez pas en mesure de remettre en cause vos propres convictions ?
Ô ! Homme, où est ta gloire ?





Chapitre 43 - L'évolution de l'humanité (19)


(19) On comprend également que les hommes originels vivaient en familles, en tribus et en peuples délimités par leur langage qu'ils ne cessaient de développer. Dans leur pays respectif, tous se comprenaient. Pendant les premiers millénaires qui furent nécessaires à leur formation, ils vivaient dans l'Eden. Aussi chaque peuple, sur son continent ou sur son île, évoluait dans la sérénité et en harmonie avec les éléments. Il n'y avait pas de misère ni de souffrance, la maladie n'existait quasiment pas. La servitude était inconnue, car Caïn ne s'était pas encore levé et Abel dormait tranquillement. Toute la Terre était magnifique et couverte de verdure et d'animaux que Dieu avait créés. Il n'y avait encore que peu d'hommes, et tous vivaient dans l'abondance et la pureté des sources originelles. Ils ne prenaient que ce qui leur suffisait. Les rires dominaient sur les larmes.





Chapitre 48 - Les mauvaises pratiques (8)


(8) Afin que le monde sache ce que fut le règne des ténèbres, Moïse parle aussi de ces temps difficiles et de ces malheureux esclaves en faveur desquels il intercéda. En effet, en ce temps-là, on fournissait de la terre et de la paille aux fils de Dieu tenus en esclavage par les rois, et on leur demandait de produire une certaine quantité de briques. Puis, par la suite, on leur dit : Allez vous-mêmes chercher la paille, et produisez la même quantité de briques ! Le peuple souffrait et gémissait car, pour le profit de ceux qui les exploitaient, on leur demandait de travailler toujours plus. Cela a-t-il changé depuis lors, ou en êtes-vous arrivés, comme indiqué, à travailler au double pour un même salaire ? Examinez, et vous comprendrez enfin ce qu'est la servitude dans laquelle je vous trouve à cause des rois et de leurs descendants qui, depuis toujours, firent marcher les hommes en pleurant.





Chapitre 48 - Les mauvaises pratiques (12)


(12) A cause du règne des anges de Satan, je trouve aujourd'hui un monde rempli d'oppresseurs et d'opprimés, et point de justice. Même les opprimés ne s'aperçoivent pas que la servitude a pris aujourd'hui des formes et des aspects beaucoup plus sournois qu'ils ne l'étaient au temps de Moïse. En effet, autrefois ceux qui avaient les fers aux pieds pouvaient disposer d'un abri, d'un peu de nourriture et de quelques vêtements ; alors qu'aujourd'hui, au soir du monde, les exclus libres de pieds et de mouvements, n'ont plus d'abri, ni de nourriture, ni de vêtements. Et ceux qui travaillent, dans la liberté disent-ils, en étant cependant aux ordres de ceux qui les commandent, craignent à leur tour de tomber dans la course à l'argent, puis d'être entièrement dépouillés de leurs biens par les usuriers. Il s'agit là d'un triste spectacle auquel j'assiste.




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