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Résultats de la recherche : créatures

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Chapitre 17 - Conception du monde (14)


(14) Si donc il y a transformation continuelle des espèces en d'autres espèces, pourquoi alors sur la chaîne de l'évolution d'une créature ne trouvons-nous que les traces d'êtres connus, et aucune trace des innombrables créatures intermédiaires qui les séparent ? Ces créatures intermédiaires et toujours différentes qui ne laissèrent aucune trace de leurs pieds et de leurs os, sont-elles des entre-espèces invisibles ? Ce sont les chaînons manquants ! répondent les scientifiques, sans prendre le temps de remarquer que les chaînons d'une chaîne, eux, peuvent tous laisser leurs empreintes sur le sol avant que la rouille n'accomplisse son oeuvre.





Chapitre 41 - Les éléments de la création (15)


(15) Aussi, puisque les êtres créés en réponse étaient formés avec ce qui existait en leur temps, ils étaient naturellement adaptés aux éléments composant le milieu duquel ils étaient issus. Alors, tant que ces éléments à l'origine de leur existence demeuraient, les créatures pouvaient demeurer. Mais au fur et à mesure que la Terre se déplaçait et que ces éléments s'amenuisaient et disparaissaient en conséquence, les créatures correspondantes disparaissaient avec eux. On comprend, en effet, qu'en n'ayant pas le pouvoir de se concevoir et de se créer eux-mêmes, les êtres ne peuvent disposer du pouvoir de s'adapter à des éléments qui ne font point partie des sources de leur existence. Ceci, et ce que nous avons déjà vu par ailleurs, montre à l'évidence qu'il n'y a jamais eu d'évolution des espèces par transformation de leur corps dans le temps.





Chapitre 41 - Les éléments de la création (23)


(23) Il est obligé que tous les genres de créatures possibles existent, jusqu'à ce que vienne celle qui, étant à l'image de Dieu, peut tout comprendre et tout faire. Celles-ci apparaissent sur chaque terre du ciel, comme elles sont apparues sur notre Terre. Nous venons de voir que les conditions de vie sont à la source des êtres que Dieu crée. Toutefois ces conditions de vie déterminent davantage le métabolisme (l'activité interne) que la morphologie qui, elle, est déterminée par la fonction de la créature. Comment l'expliquer ? Tout d'abord, on comprend que les végétaux sont formés les premiers avec leurs insectes et autres petits animaux qui les servent ; puis viennent les herbivores, les insectivores, les carnivores et les omnivores qui se nourrissent de tout. Il faut donc que ces créatures puissent, selon leurs besoins d'espèces, marcher, courir, bondir, voler, nager, ramper, se dissimuler et creuser. Car, vivre, consiste aussi à tirer profit du sol, de l'air, de l'eau et de leurs espaces, et d'échapper à tous les dangers.





Chapitre 4 - Le Véritable et les imposteurs (16)


(16) Misérables créatures, vous me chargez d'une lourde tâche ! Mais ce fardeau que vous placez sur mes épaules vous écrasera et vous fera disparaître à jamais de cette Terre qui ne peut plus vous supporter. En ne pouvant vous approcher du Créateur et de ses prophètes, vous n'aviez point cru à la venue du Fils de l'homme aux jours de la fin. Mais vos oeuvres vous suivent ; et par vos oeuvres démoniaques qui amènent la fin, vous êtes jugés. Vous allez vous en aller, car tel est l'ardent désir de Celui qui m'envoie rendre la Terre à nouveau habitable, et telle est ma volonté.





Chapitre 10 - La circoncision du coeur (11)


(11) La circoncision du coeur montre les saints d'esprit. C'est pourquoi, je vous dis ouvertement qu'on ne peut fondre les sept éléments de la sainteté sur le visage de ceux qui gouvernent le monde, vous trompent, vous tyrannisent et vous soumettent de force à la servitude et à la rançon, quand ils ne vous envoient aux abattoirs de leurs guerres qu'ils estiment nécessaires à leur domination. Ils ont établi leurs lois depuis le matin du monde, et dévastent la Terre sans scrupules. Ils ne font aucun cas des conditions de vie naturelles des créatures. Mais, même avec leurs scandales, ils étaient indispensables au monde ; parce qu'ils sont l'ivraie qui devait pousser, fleurir et prospérer, pour servir d'exemple et être extraite à jamais de la Terre. C'est ici la promesse de Dieu pour les jours de la moisson à la fin des temps dans lesquels vous êtes arrivés, et le sens de la parabole du blé et de l'ivraie qu'expliquait Jésus et que voici :

Jésus leur proposa une autre parabole, et il dit : Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l'ivraie parmi le blé, et s'en alla. Lorsque l'herbe eut poussé et donné du fruit, l'ivraie parut aussi. Les serviteurs du maître de la maison vinrent lui dire : Seigneur, n'as-tu pas semé une bonne semence dans ton champ ? D'où vient donc qu'il y a de l'ivraie ? Il leur répondit : C'est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l'arracher ? Non, dit-il, de peur qu'en arrachant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier.

Quelque temps après, ses disciples lui demandèrent avec insistance : Explique-nous la parabole de l'ivraie du champ. Il répondit : Celui qui sème la bonne semence, c'est le Fils de l'homme ; le champ, c'est le monde ; la bonne semence, ce sont les fils du royaume (les élus) ; l'ivraie, ce sont les fils du malin (les impies) ; l'ennemi qui l'a semé c'est le diable ; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges (vous qui comprenez). Or, comme on arrache l'ivraie et qu'on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde. Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l'iniquité ; et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende !





Chapitre 17 - Conception du monde (12)


(12) Non, chaque espèce a sa fonction dans le monde que Dieu bâtit et il la garde. C'est pour cette raison qu'aucune espèce ne se modifia dans le temps, par adaptation de cette espèce à un milieu différent de celui de ses origines et qui lui aurait été forcément hostile. Vous pensez qu'il en fut ainsi cependant, à cause des savants qui voient évoluer une créature dans le temps, comme le fait un nuage qui passe dans le ciel en changeant constamment de forme... Pourtant, si les créatures premières étaient devenues les suivantes et celles que nous connaissons aujourd'hui, n'aurait-il point fallu qu'elles passent par de longs moments singuliers et incompréhensibles, se trouvant entre l'espèce qu'elles quittaient et celle qu'elles allaient devenir ?





Chapitre 17 - Conception du monde (18)


(18) Comprenez-vous tout ce que je dis ? Je dis que les créatures sont pensées et que, pour subsister, elles sont composées en fonction de ce qui existe en leur jour et de ce qui existera après elles. Elles sont créées selon un ordre dans lequel chacune trouve sa fonction et sa raison d'être telle qu'elle est. C'est en effet leur fonction dans le monde qui détermine par avance leur morphologie, leur métabolisme et leurs aptitudes. Comme vous faites une fenêtre en fonction de son rôle préétabli dans la maison et des matériaux existants, le Créateur forme un être de la même manière.





Chapitre 17 - Conception du monde (23)


(23) Ainsi, de compositions en compositions nouvelles, on en arrive à l'homme qui est la somme de toutes. Il est donc placé au sommet de la création, parce qu'il porte forcément en lui tout ce que les autres créatures réunies portent en elles. Étant dernier-né sur Terre, l'homme est l'héritier de tous les êtres qui le précédèrent. Il n'est donc pas une espèce comme les autres, car il n'est pas fondation ni mur ni charpente ni toit, comme le sont les espèces dans leur genre, il est maison tout entière dans laquelle Dieu habite. Plus aucun être ne pouvait donc être créé après l'homme qui est forcément l'être le plus grand qui puisse exister. Ici ou ailleurs, il est toujours le représentant de la Divinité.





Chapitre 17 - Conception du monde (26)


(26) Nous démontrerons également qu'il n'y a jamais eu de dérive des continents, mais seulement la formation de ceux-ci par changement de température du sol qui les fit émerger là où ils sont. Ces importants changements de température du sol, de l'eau et de l'air qui se produisirent tout au long des ères et qui déterminent aussi le climat, font que tout fut différent depuis les commencements jusqu'à présent. Par conséquent, les créatures qui naquirent le long des ères tout autour de la Terre et en tous pays, portaient forcément en elles ces différences qui permettent la structure du monde et l'esprit qui émane de lui.





Chapitre 17 - Conception du monde (28)


(28) Eh bien, c'est pour ces mêmes raisons indéniables qu'il existe des différences entre les créatures qui ne peuvent sortir ensemble du même endroit et de choses semblables. Il s'avère alors qu'entre races, qu'entre peuples, et qu'entre familles et individus de ces peuples, il y a des différences de perceptions, de déductions, d'interprétations, et par conséquent de comportements. Ce qui est fort enrichissant et parfait pour le monde.




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