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Résultats de la recherche : primaire

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Chapitre 37 - L'émergence des continents (6)



50 – Aspect du creusement des bassins

(6) Cette image simplifiée nous montre comment l'émergence des terres creusa les bassins en conséquence au commencement de l'ère primaire. En raison des rétractions, nous comprenons déjà que la faille originelle qui sépare les deux continents sera obligée d'évoluer, comme nous l'examinerons. Mais cette figure, s'ajoutant à la précédente, donne déjà une meilleure idée de la formation du relief.





Chapitre 38 - Voyage dans les ères (9)


(9) Mais durant cette première moitié du primaire, la lave remontait aisément le long des fissures et les comblait. Certes, les gaz faisaient également éruption, mais presque aussi calmement, car eux non plus ne rencontraient pas de grandes difficultés. Ce volcanisme n'était pas encore très propice à la formation des petites îles d'origine volcanique que l'on trouve aujourd'hui en forme de chapelets le long des failles originelles, devenues ensuite les dorsales, parmi lesquelles quelques-unes sont émergées. Non, il est plus probable que dans le primaire ces lignes de fractures, parsemées aujourd'hui de volcans et de montagnes, étaient seulement des crevasses comblées par la lave.





Chapitre 38 - Voyage dans les ères (11)


(11) Voilà ce que fut le primaire. Mais, comme cela a été dit, les premiers continents émergés n'avaient pas encore le relief ni la configuration de ceux de nos jours. Néanmoins, ce fut un grand moment du règne végétal qui vit aussi apparaître quelques créatures un peu différentes des précédentes, plus nombreuses aussi, mais encore fort simples dans leur organisme. Produits par les eaux, ces êtres existaient dans la mer qui s'était déjà légèrement salée par l'activité électromagnétique terrestre. Mais ils existaient aussi sur les terres exposées au Soleil et sur lesquelles il pleuvait abondamment dans la deuxième période de l'ère. Il y avait beaucoup de lacs, de marécages, quelques cours d'eau, et aussi beaucoup de pluies semblables aux pluies tropicales. Tout était beau d'une extrémité à l'autre des petits continents. Le primaire fut à cet égard un joyau sous le Soleil, un joyau vert et bleu. Ce fut le troisième jour que Dieu a créé.





Chapitre 38 - Voyage dans les ères (26)


(26) Ainsi, plus la terre émergée était de grande surface, plus la pénétration du froid était vaste et profonde. Par conséquent, plus grandes étaient les rétractions qui créaient des soulèvements. Par exemple, au commencement du primaire il n'y avait que de petites surfaces émergées, et les rétractions furent proportionnelles. Alors qu'au début du tertiaire, toutes les terres qui furent précédemment retirées des eaux et réchauffées étaient offertes plus longuement à la basse température et atteintes en profondeur cette fois. Ainsi, les premiers plissements devenus rocheux dans le primaire, furent ici soulevés et brisés par les contractions des couches profondes. Cela engendra les magnifiques chaînes montagneuses aux roches acérées et dressées vers le ciel que nous pouvons contempler aujourd'hui.





Chapitre 41 - Les éléments de la création (20)


(20) Je dis que dans la complexité croissante des ères, ce qui est simple existe toujours et non ce qui est davantage élaboré. Pour bien saisir cela, imaginons que les conditions de vie aient été au maximum de cinquante dans le précambrien, de cent dans le primaire, de deux cents dans le secondaire, de quatre cents dans le tertiaire, et soient devenues huit cents dans le quaternaire, en raison de leur enrichissement progressif. On remarque ainsi qu'un être de dix peut trouver existence dans toutes les ères, car dans celles-ci se trouve toujours le chiffre dix. Ce qui ne peut se produire pour une créature de deux cents, car elle ne pouvait trouver existence dans le primaire où les conditions de vie n'excédaient point cent.





Chapitre 1 - La bonne nouvelle (4)


(4) D'abord la formation de nos astres qui se fit jusqu'à l'éclairement du Soleil, ensuite les ères successives que la Terre connût, sont les six jours de la création de Dieu exprimée par Moïse dans la Genèse. Ces jours ne sont point des jours d'hommes, mais des époques. Ainsi, après que la famille solaire fut formée, le Soleil s'éclaira au PREMIER JOUR. A la suite de quoi, la Terre évolua dans la nébuleuse solaire et vit apparaître sur son sol le règne de l'eau au DEUXIÈME JOUR (le précambrien). Puis, à la suite de l'émergence des premiers continents, ce fut le règne des végétaux au TROISIÈME JOUR (le primaire). Il fut suivi du règne des reptiles qui s'éteignirent soudainement lorsque la Terre adopta sa jeune soeur, la Lune, qui vint présider la nuit au QUATRIÈME JOUR (le secondaire). Vint ensuite le règne des mammifères et des oiseaux dans le CINQUIÈME JOUR (le tertiaire), auquel succéda le règne des hommes dans le SIXIÈME JOUR (le quaternaire) qui est le jour durant lequel la Terre stabilisa son orbite autour du Soleil, qui est celle que nous lui connaissons.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (3)


(3) Or, si depuis longtemps les hommes se sont aperçus que la Terre a connu des ères différentes, aucun d'entre eux n'a encore démontré pourquoi elle était passée du précambrien au primaire, puis au secondaire, puis au tertiaire, et enfin au quaternaire dans lequel nous nous trouvons aujourd'hui. Il est certain cependant que la Terre n'est point allée par magie d'une ère à l'autre, toujours différente de la précédente. Non, les ères qu'elle connut sont dues aux va-et-vient qui la firent séjourner deux fois dans le froid intense et une fois dans la température fort élevée ; car ce sont ces changements de température qui modifièrent à chaque fois le sol, le relief, la configuration des continents, ainsi que le climat et le monde vivant.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (11)


(11) LE PRIMAIRE : Lorsqu'elle sortit de cette première époque glaciaire, les premiers continents commencèrent à émerger. Puis ces continents se couvrirent d'une abondante végétation, de beaucoup de verdures géantes qui produisirent ensuite des dépôts de houille sur le sol (le carbonifère), tant était grande la chaleur solaire à la fin de cette ère, où notre planète connut l'orbite la plus basse de son déplacement.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (17)


(17) Puisque dans l'espace la Terre n'offrait qu'un disque infime au souffle de l'explosion atmosphérique du Soleil, on peut estimer que la force reçue ne fut pas si grande, et que quarante mille révolutions furent approximativement la durée du précambrien, cinquante mille celle du primaire, soixante mille celle du secondaire, trente-cinq mille celle du tertiaire, et douze mille celle du quaternaire qui commence depuis sa stabilisation. En additionnant ces durées présumées, mais probables, on voit que le Soleil ne brille que depuis cent quatre-vingt-dix-sept mille révolutions ! Bien que ce soit approximatif, nous sommes cependant fort proches de la réalité. Pour s'en convaincre, il suffit de procéder dans l'autre sens. C'est-à-dire que si on remonte le serpent à partir de la croissance démographique et de la dernière grande époque glaciaire qui fit plisser les montagnes, on parvient à des estimations de durée semblables.





Chapitre 35 - Les six jours de la création (18)


(18) Mais mieux vaut s'abstenir de toute mesure de temps, car quelle était la durée d'une année (une révolution) lorsque la Terre était en orbites basses et en orbites hautes ? Nous ne le savons pas. C'est pourquoi, en ce qui concerne les ères terrestres (les ères géologiques), il ne faut pas raisonner en années mais en jours célestes. On dit : de la naissance à l'éclairement du Soleil, ce fut un jour céleste ; le précambrien fut un autre jour ; le primaire également ; et ainsi de suite pour toutes les ères. Alors nous resterons avec Moïse dans ce qui est effectivement vrai. Car voici comment l'enseignement du Fils est conforme aux Écritures, et comment sa parole est confirmée par Moïse. Ainsi, vous saurez enfin que Dieu existe, et que ses deux témoins sont les seuls hommes que le monde doit suivre pour son salut.




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