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Résultats de la recherche : conscience

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Chapitre 56 - La consommation des temps (21)


(21) Écoutez-moi : Puisque le dernier battement du coeur se trouve dans le passé, et que le prochain se trouve dans l'avenir, il est indéniable que le présent n'est que l'instant même de la conscience d'une personne. Il s'agit en effet d'un moment imperceptible se trouvant constamment entre le passé qui s'étend loin derrière soi, et l'avenir qui s'étend loin devant soi. La conscience de la présence des choses est ainsi comparable à une perle qui avancerait sur un fil, que l'on pourrait appeler fil du temps. Mais la mémoire des instants qui viennent de s'écouler, et la capacité d'imaginer ceux qui arrivent, font que la conscience que l'on a du monde paraît plus large et moins fugitive.





Chapitre 46 - L'esprit et les règles (11)


(11) La vie est esprit et conscience. Dans cela, le langage est l'expression de l'esprit d'un peuple et du pays qui donna naissance à ce peuple. Le langage c'est la parole. La parole, c'est l'esprit. Et l'esprit crée le monde. Dieu est esprit. Et la parole de Dieu se fait entendre partout dans l'univers. C'est pourquoi, connaître Dieu, ses oeuvres et ses desseins, est suffisant pour la conscience, car on doit se limiter dans la compréhension. Par exemple, serait-il utile de savoir de quelle manière les atomes s'associent et réagissent entre eux pour former un fruit ? Non, ce n'est pas nécessaire et n'en soyez point préoccupés ; d'autant que si vous aviez une représentation exacte des atomes qui donnent forme, couleur, saveur et odeur aux fruits, vous n'auriez pas de plaisir à les cueillir ; et votre connaissance n'en serait pas enrichie.





Chapitre 46 - L'esprit et les règles (14)


(14) Les êtres sont parties intégrantes des astres desquels ils dépendent. De ce fait, créés en réponse des éléments de vie procurés par la Terre et le Soleil, tous les êtres vivants sont dotés de sens qui les renseignent sur le monde extérieur où ils évoluent. Ils ont ainsi plus ou moins conscience de leur existence et disposent des moyens de subsister. Mais les bêtes ne savent pas ce qu'elles sont, parce qu'elles sont dépourvues de raisonnement. Cependant, elles reconnaissent leurs congénères par affinités et se joignent à eux. Il n'y a que l'homme pourvu de raison qui peut imaginer ce qu'il ne voit pas. Il est également seul à avoir conscience de la naissance et de la mort, contrairement aux bêtes qui, elles, ne savent pas qu'elles sont comme lui de passage sur terre. Conscientes du danger cependant, les bêtes se méfient de leurs prédateurs. Mais lorsqu'une d'entre elles est attrapée, elle ignore qu'elle périt, parce qu'elle ne sait pas ce qu'est la mort. En raison de quoi, et contrairement à ce que plusieurs affirment, le monde animal n'est nullement un monde cruel.





Chapitre 1 - La bonne nouvelle (6)


(6) Mais, jusqu'ici, en n'ayant point conscience de ce que furent les jours de la création et les ères qui s'y rapportent, les hommes vécurent dans les ténèbres sans pouvoir lire la prophétie et prédire ce qui allait leur arriver. Et dans l'attente d'être éclairés, ils se heurtent encore, se font toujours la guerre et détruisent tout. Mais le monde va changer ; car il est arrivé sur le soir, dans les temps messianiques où devait se lever celui qui viendrait enseigner l'univers, ainsi que les six jours et le septième jour, pour délivrer les hommes de leur ignorance et des souffrances qu'elle occasionne dans les peuples. Aussi, puisque l'Écriture annonce sans relâche cet homme, personne ne doit s'étonner aujourd'hui de sa venue qui est naturelle et prévue depuis la création du monde. Votre stupéfaction sera grande cependant, parce qu'en ne voyant nullement dans quels temps vous êtes, vous espérez encore en beaucoup de choses sauf à la venue du Fils de l'Homme pour ces temps-là. Ce livre que j'écris vous montrera que je suis cet homme. Je vous salue.





Chapitre 2 - Les jours du Fils de l'homme (6)


(6) Mais, en grandissant, je prenais conscience de la pauvreté de mes parents qui leur occasionnait de grands tourments, notamment à ma mère qui pleurait souvent de ne pas disposer de ce qui est nécessaire pour nous donner à manger ou nous vêtir convenablement. Ce que mon père produisait n'était que petits bénéfices aussitôt absorbés par les impôts que prélevaient les gens de la ville. La guerre sévissait en ces années-là, et nous souffrions de cette misère. Ainsi, mon enfance, enrichie des merveilles de la nature et remplie de joies, se couvrit de tristesse, surtout qu'en raison de la pauvreté de mes parents, je comprenais déjà que je serais obligé de partir du village auquel j'étais attaché.





Chapitre 2 - Les jours du Fils de l'homme (9)


(9) Lorsque vint ma libération, je retrouvai mon épouse et mon fils qui avait grandi. Puis je continuai à faire l'ouvrier dans un chaudron nucléaire de Satan, que l'on nomme : avenir radieux de l'humanité... En ces jours-là, mon épouse me donna une fille cette fois. Aussi, peu à peu, et malgré mes profondes blessures, le plaisir de vivre me revint. Mais dès que je pris conscience de ce qui se pratiquait dans ce chaudron nucléaire et à quoi cela servait, je quittai ces lieux, d'autant qu'il m'était impossible d'être commandé. En effet, élevé dans la liberté originelle, je ne pouvais supporter que quiconque s'assoie sur moi pour me faire agir selon sa volonté. Je tentai alors de travailler pour moi et ouvris un petit commerce.





Chapitre 2 - Les jours du Fils de l'homme (11)


(11) Je partis donc seul, un peu plus en amont dans la vallée des voyageurs pour m'établir près d'une ville où j'avais au préalable choisi d'y poursuivre une autre activité commerciale. En ces années-là, les tensions entre les nations de l'Est et de l'Ouest s'intensifiaient. Je pris alors le temps d'examiner le monde et ce que je faisais au milieu de lui. Le monde m'angoissa, car je vis de sombres nuages arriver de toutes parts, qu'apparemment les gens ne voyaient point venir. Il m'apparaissait progresser invariablement vers sa fin ; parce qu'à mes yeux un monde bâti avec les pouvoirs, l'argent et le profit, qui nécessitent la défense des intérêts (la guerre), ne pouvait aller qu'à sa ruine. Je savais déjà qu'il en était fait de lui. A ces sombres perspectives, s'ajoutait le fait que je contribuais à sa déchéance. Je me mis alors à réprouver ce que je faisais, d'autant qu'il m'était fort désagréable d'exploiter des gens comme jadis je fus moi-même exploité. Je supportais mal que d'autres travaillent à ma prospérité. Aussi, ces choses détestables et l'argent qu'il me semblait dérober, augmentaient considérablement mon inquiétude de conscience.





Chapitre 3 - La prophétie (10)


(10) Cependant, en croyant que le Sauveur est venu il y a deux mille ans, beaucoup disent : le Fils est déjà venu et il ne s'est rien passé, il a échoué ! Et moi je dis qu'il s'entend seulement aujourd'hui, dans les temps difficiles, qui sont les temps messianiques. L'homme n'a nullement conscience qu'en étant avant l'apocalypse, il est forcément avec lui, et il prétendrait qu'il a échoué ? Croit-on que l'on soit plus que le Créateur de toutes choses, pour être victorieux de Lui ? Les hommes ignorent que ce sont les planètes qui font briller les étoiles, et ils prétendraient pouvoir faire reculer Dieu ? Homme dépourvu d'entendement, si quelqu'un échoue sur cette Terre ce sera toi qui lis et non moi qui t'écris ; car si tu n'es plus en mesure de concevoir et de saisir la vérité, tu ne finiras pas d'accomplir tes jours. Ta stupeur va être grande, fils de la Terre !





Chapitre 3 - La prophétie (17)


(17) L'homme pur et innocent est un agneau. Celui-là a forcément en lui le coeur et l'esprit de sa jeunesse. Il parle alors comme un enfant, disant ce qu'il a vu et entendu sans se soucier de ceux qu'il dérange. Tel je suis. C'est pourquoi lorsque Jean m'a vu en ce jour, il a dit : voici l'Agneau de Dieu ! Et il présenta, par Jésus, ma personne et mon personnage, ainsi que les domaines et matières dans lesquels je vous conduirai, et ce que seraient les miracles que j'accomplirai. Ces miracles concernent les guérisons dont je viens de parler. Jean fut donc envoyé devant moi pour préparer mon chemin. Mais quand il présente l'Agneau (qui est ce même agneau qui combat le monde corrompu dans l'apocalypse), nul ne s'aperçoit qu'il s'agit du Fils de l'homme qui arrive au soir du monde quand les portes sont fermées. Cela vous fait saisir pourquoi il est écrit :

Jésus se présenta à eux (ses disciples) les portes étaient fermées.

Il y a deux mille ans, les portes n'étaient point encore fermées, car le monde pouvait encore accomplir beaucoup de choses. Or, aujourd'hui, elles se ferment les unes après les autres, comme cela vous apparaît en levant les yeux sur la situation du monde. Ayez donc conscience que, quoi qu'il fasse, ce monde est perdu ; cela, parce qu'il ne peut plus revenir en arrière pour prendre un nouveau départ. D'ailleurs, même s'il pouvait le faire, il emprunterait de nouveau les mêmes sentiers et arriverait au même endroit ; parce que dans l'ignorance de ce qu'il est, l'homme ne peut savoir comment il convient de vivre pour ne point détruire ce par quoi il vit.





Chapitre 10 - La circoncision du coeur (9)


(9) Alors je vous le dis, celui qui
se lève pour s'arroger des pouvoirs sur autrui ;
recherche la gloire et les honneurs ;
renie Dieu et s'en glorifie ;
trompe son prochain ;
déclare licites les pires immoralités ;
se façonne sa ligne de conduite avec le mensonge ;
se prosterne devant le veau d'or, son dieu ;
retient prisonniers les êtres humains, ainsi que tout ce qui respire ;
menace et opprime son prochain ;
cherche à être le premier à tout prix ;
vit aux dépens de ses semblables ;
s'empare des biens ou des pays d'autrui ;
dénigre et rabaisse la femme ;
ensevelit les pays sous du ciment, du bitume ou du fer ;
dénature, pollue, contamine et défigure les campagnes ;
adapte la nature à ses pensées, en détruisant l'ordre originel ;
celui-là donc, qui n'a point d'inquiétude de conscience, est le contraire même de ce que prêche le Christ et que l'existence réclame. Il est l'antéchrist annoncé, le destructeur que Dieu me demande de combattre jusqu'à ce qu'il disparaisse à jamais de ce monde.




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